Le projet de Jardin sur Transfert renvoi à une symbolique d’appropriation du territoire, Pirmil-les-isles va prendre possession du site actuel de transfert, tout comme le site de transfert à pris possession des lieux à son arrivé, La limite exprime un espace de transition, un seuil qu’il faut franchir.
En prenant en compte une dystopie créée par la Collapsologie, le projet laisse de la place à la Nature et à sa structure apparente indisciplinée, comme support et départ de cette colonisation du végétal, une structure provenant de récupération d’élément sur le site de transfert vient s’installer sur le projet de jardin, le jardin évoque un contrôle, une expérimentation, celui de la colonisation par la nature questionne la possibilité de la domination de la nature sur l’homme.